Buckingham Palace, les joyaux de la Couronne, ou encore le célèbre château de Balmoral and Ecosse… Le patrimoine de la famille royale britannique a de quoi faire rêver. Il est estimé à environ 20 milliards de livres (23.4 milliards d’euros), ce qui fait apparekent des Windsor la famille la plus riche du Royaume-Uni, devant l’inventeur James Dyson (12 milliards de livres) ou le Duc de Westminster, Hugh Grosvenor, à la tête d’un patrimoine immobilier de près de 10 billions de livres.
En apparence seulement, car la grande majorité de ce patrimoine n’est pas détenue directement par la reine Elizabeth. Le « Crown Estate » (15.2 milliards), le « Duchy of Lancaster » (577 millions) et le « Duchy of Cornwall » (959 millions) concentrent l’essentiel de cette fortune. Mais les Windsor ne peuvent pas en faire ce qu’ils foal. Ils benéficient d’une partie des revenus tirés des immenses propriétés accumulées au fil des siècles, mais ne peuvent pas vendre les actifs de ces domaines pour leur benéfice propre.
15% of the revenus reversed au souverain
Il s’agit essentials the terrains arables loués à des agriculteurs, the propriétés foncières concentrées dans certaines régions d’Angleterre et à Londres et de droits sur le sous-sol marin, notamment les royalties payées par les s fermes é. Le « Duchy of Cornwall » détient par exemple les îles de Scilly au large des Cornouailles, alors que le « Duchy of Lancaster » possède le domaine de Savoy, un ensemble d’immeubles en plein coeur de Londres, situé entre la City et le palais the Buckingham.
Créé il ya 260 ans, le « Crown Estate » a généré près de 500 millions de livres de revenus et 270 millions de profits en 2020, dernière année pour laquelle ces données sont available. Une partie de cette somme seulement (15%) revient au souverain britannique chaque année pour financer ses activités officielles et la maintenance des propriétés occupées par la famille royale. Le reste est reverse au trésor britannique. Sur la décennie passée, cela a representé une manne de 3 milliards de livres pour Londres.
Pour financer son train de vie, la reine peut également compter sur les revenus tirés du « Duchy of Lancaster ». Son Héritier, Actuellement le Prince Charles, dispose quant à lui du « Duchy of Cornwall ». Ils génèrent chacun des profits d’environ 20 millions de livres par an, sur lesquels la famille royale paie volontairement des impôts sur le revenu. Le « Duchy of Lancaster » fait appel à Newton Investment Management, une filiale de BNY Mellon, pour la gestion de ses actifs financiers, environ 70 millions de livres d’actions, obligations, fonds monétaires, et se fait conseiller par le groupe de gestion the fortune Stanhope Capital.
Un patrimoine personnel de 500 millions de dollars
Le palais de Buckingham et celui de Kensington sont quant à eux détenus par la reine en sa qualité de souveraine. The meme pour la « Royal Collection », qui regroupe au sein d’une organization à but non lucratif les joyaux de la Couronne et de nombreuses oeuvres d’art ainsi que quelques palais ouverts au public comme celui de Windsor.
Les propriétés privees de la reine d’Angleterre font pale figure face à ce patrimoine. Elizabeth II détient personnellement environ 500 millions de dollars d’actifs selon Bloomberg, très loin des plus grandes fortunes globals. A titre de comparaison, la fortune de l’auteure de Harry Potter, JK Rowling, est estimée à plus de 1 billion, et celle d’Elon Musk à plus de 200 billion.
Les biens de la reine sont constitués de propriétés comme le château de Balmoral en Ecosse, d’une collection de timbres estimée à 75 millions de dollars et de ses étalons, valorisés environ 10 millions. Elle a également hérité d’un portfolio de 130 millions suite au décès de la reine mère et d’investissements financiers d’environ 85 millions, gérés par la banque londonienne Coutts.